Quelles sont les possibilités du rouge vermillon « Beni », couleur d’une beauté fascinante ? Qu’en est il, en ce moment, du magasin Isehan comme étant unique magasin Beni ?

Une nouvelle apparence de « Beni » réconciliant différentes périodes par monsieur Tatehana.

À travers de l’exposition, j’ai pu découvrir de nouveaux aspects du Beni et de ses alternatives futures.

Dans cette exposition, monsieur Tatehana a réalisé un travail de production en utilisant des pièces Beni provenant du magasin principal Isehan. En particulier, les chaussures sans talons, qui affichent une couleur iridescente qui, jadis, était difficile de reproduire, sont d’une qualité exceptionnelle. Qu’est-ce que vous avez ressenti en voyant une oeuvre reflétant l’avenir du Beni et qui ne se situait ni dans le passé ni dans le présent ? « J’ai été très surpris. Je n’ai jamais pensé qu’on pouvait reproduire la couleur iridescente, si vive qu’elle est, sur du cuir . Ce n’est plus réalisé à petite échelle, sinon sur des chaussures sans talons. J’ai été surpris par la puissance et la présence de ce travail exprimée de façon complètement nouvelle. Je crois ça a été une très bonne expérience.» La raison de la ravissante brillance du Beni n’est pas encore mise à jour. Les gens sont fascinés par Beni et de son apparence mystérieuse.

La couleur iridescente est la preuve de la bonne qualité du rouge, et la couleur change selon l’utilisateur.

L’attrait du Beni c’est qu’à chaque fois que tu vois cette couleur, tu ressens un nouvel impact même quand tu faisais quelque chose qui n’a pas changé depuis longtemps.

Tout en ressentant les nouvelles possibilités du Beni, le magasin Isehan Main Store est prêt à perpétuer la tradition d’être l’unique magasin Beni du Japon. « On pourrait dire que les ultimes couleurs Beni se sont réalisées depuis la période Edo ; Cependant, ce ne sont pas des couleurs qui peuvent être facilement reproduites de façon stable même dans ces temps modernes et les artisans continuent de chercher des couleurs fascinantes restées intactes depuis 400 ans. Bien que cet art eût atteint son paroxysme, je crois que notre rôle est de continuer à transmettre son charme original pendant qu’on maintient fermement sa valeur, au lieu de le traiter comme quelque chose qui tout simplement existé durant de longues années. En adoptant ce comportement, je crois que toutes les personnes de tous les âges pourront reconnaître la valeur de la fraîcheur apportée au Beni. Au prime abord, c’est simple, mais il peut y en avoir plusieurs facettes. Je veux que tout le monde ressente le charme mystérieux de Beni à l’exposition « EDO TOKYO RETHINK ».