Toujours un pas d’avance avec les montres réalisées avec passion
L’histoire de Seiko a commencé en 1881, lorsqu’un entrepreneur de 21 ans, Kintaro Hattori, décida d’ouvrir une boutique à Ginza, au cœur de Tokyo, spécialisée dans la vente et la réparation de montres et d’horloges. Il allait bientôt commencer à produire ses propres horloges murales, suivies par des montres de poche.
Au début de l’ère Taisho (1912-1926), les montres-bracelets étaient importées en faible quantité au Japon, où les montres de poche étaient encore populaire. Hattori continua néanmoins à réaliser des prototypes et à mener ses recherches, prévoyant que la montre-bracelet devait bientôt supplanter la montre de poche. Enfin, en 1913, il réalisa la toute première montre-bracelet du Japon : la Laurel. La technologie de l’époque rendait la production de petites montres-bracelets extrêmement difficile, si bien que celle-ci était limitée à une trentaine d’unités par jour. Ce modèle était ainsi des plus onéreux.
«Toujours un pas d’avance sur les autres » : cet état d’esprit, tel qu’évoqué par Kintaro, s’est perpétué et continue aujourd’hui encore à définir Seiko et la collection Présage.
La création de Seiko Présage est inspirée par un sens esthétique tout à fait japonais. Une montre conçue pour sa beauté et son confort au poignet.
Seiko continue à produire des objets typiquement japonais faisant appel aux techniques d’artisanat traditionnelles déjà utilisées pour la Laurel, à savoir les émaux, qui confèrent aux montres leur belle apparence – et plus d’un siècle après, ne se décolorent toujours pas –, mais aussi la laque Urushi, l’émail Shippo, ou encore la porcelaine d’Arita.
Une montre-bracelet combinant technologie innovante et beauté à la japonaise, le tout dans un petit cadran, avec un petit mouvement. Qui peut parfois se faire capsule temporelle en transmettant la passion du fabricant non seulement au propriétaire, mais aussi aux enfants et petits-enfants de celui-ci.
« Avec la montre que nous portons, nous pouvons partager la passion des artisans qui l’ont confectionnée il y a cent ans . De même, nous aimerions que les montres que nous fabriquons aujourd’hui puissent être transmises à notre descendance du prochain siècle », tel est le souhait de Seiko.